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Broutards L’équilibre offre/demande reste favorable dans les bons mâles d’herbe

Les éleveurs profitent de conditions climatiques enfin favorables pour faire les foins et l’enrubannage. Ainsi, les volumes disponibles à la vente sont modestes.

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Dans le centre du pays, le commerce reste fluide avec des niveaux tarifaires très confortables dans les broutards lourds ou les taurillons herbés et vaccinés. Les mouvements à l’export vers les pays tiers tirent également le marché.

Les prix des bons taurillons charolais herbés et vaccinés de 400/450 kg sont remontés entre 3,70 et 3,75 € à Moulins-Engilbert et Châteaumeillant. Dans les plus légers, la belle marchandise d’automne de 300/350 kg vaccinée se négocie autour de 3,70/3,80 € à Cholet ou Châteaubriant.

Les transactions sont un peu plus calmes dans les limousins, avec un léger recul des prix, même s’ils restent très convenables. Les sujets vaccinés de 300/350 kg se situent autour de 3,85 €. Les animaux de 350/400 kg de conformation U se négocient entre 3,80 et 3,85 € sur le cadran d’Ussel et des Hérolles.

Pour les femelles, la demande reste soutenue dans les bonnes laitonnes herbées, pour l’export sur l’Italie ou pour la France. Les charolaises de laitonnes de 300/350 kg se vendent entre à 3,25 € Châteaumeillant et 3,35 € à Moulins-Engilbert. Les limousines sont à 3,35 € à Ussel. Les femelles communes non vaccinées s’écoulent à des tarifs compris entre 550 et 850 € en fonction de la race et du poids.

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